Notre histoire
Château Hôtel & Villas prestigieuses dans l'Aude en Occitanie avec Spa & Restaurants
UNE VISION AUTHENTIQUE & DURABLE - INCHANGÉE DEPUIS 2008
Restauration et exploitation de châteaux hôtels, domaines viticoles et autres bâtiments de caractère en tant que destinations d'exception en Occitanie, avec conservation et valorisation de leur fonction et caractère essentiels, et intégration locale dans le respect de leur environnement naturel, social, culturel et économique.
Restauration et exploitation de châteaux hôtels, domaines viticoles et autres bâtiments de caractère en tant que destinations d'exception en Occitanie, avec conservation et valorisation de leur fonction et caractère essentiels, et intégration locale dans le respect de leur environnement naturel, social, culturel et économique.
Notre histoire
Karl O'Hanlon et Anita Forte ont fondé Domaine & Demeure en 2008 pour concrétiser une vision consistant à transformer de gigantesques domaines viticoles en sommeil en lieux élégants et authentiques où règnent confort et détente, et où les clients se sentent immédiatement chez eux.
Le Château Les Carrasses, ouvert en 2011, a connu un succès fulgurant grâce à sa formule chic et décontractée. Il est rapidement devenu le secret le mieux gardé des voyageurs exigeants à la recherche de lieux confortables et raffinés, mais authentiques, pour se détendre et décompresser.
Proches de la famille Bonfils depuis de nombreuses années, le temps a convaincu Laurent et Karl qu'un partenariat entre leurs deux familles avait tout son sens - allier des générations de savoir-faire viticole à l'expertise hôtelière, pour donner vie à une vision commune de l'œnotourisme durable. Ainsi en 2012, les Vignobles Bonfils ont pris une participation importante dans Domaine & Demeure. A ce jour, le partenariat continue de porter ses fruits.
Le Château St Pierre de Serjac a ouvert en 2016, au terme de plusieurs années de transformation. Bien qu'à une échelle différente de celle de son frère aîné, le domaine a fait sienne la formule « sans compromis ». Une fois de plus, l’assemblage entre caveau, hôtel, villas privées et country club a rapidement attiré une clientèle fidèle, aussi bien française qu’étrangère.
En 2021, ce fut au tour du Château Capitoul (acquis par Bonfils en 2011) d’ouvrir ses portes, portant ainsi à trois le nombre de nos domaines.
Karl O'Hanlon et Anita Forte ont fondé Domaine & Demeure en 2008 pour concrétiser une vision consistant à transformer de gigantesques domaines viticoles en sommeil en lieux élégants et authentiques où règnent confort et détente, et où les clients se sentent immédiatement chez eux.
Le Château Les Carrasses, ouvert en 2011, a connu un succès fulgurant grâce à sa formule chic et décontractée. Il est rapidement devenu le secret le mieux gardé des voyageurs exigeants à la recherche de lieux confortables et raffinés, mais authentiques, pour se détendre et décompresser.
Proches de la famille Bonfils depuis de nombreuses années, le temps a convaincu Laurent et Karl qu'un partenariat entre leurs deux familles avait tout son sens - allier des générations de savoir-faire viticole à l'expertise hôtelière, pour donner vie à une vision commune de l'œnotourisme durable. Ainsi en 2012, les Vignobles Bonfils ont pris une participation importante dans Domaine & Demeure. A ce jour, le partenariat continue de porter ses fruits.
Le Château St Pierre de Serjac a ouvert en 2016, au terme de plusieurs années de transformation. Bien qu'à une échelle différente de celle de son frère aîné, le domaine a fait sienne la formule « sans compromis ». Une fois de plus, l’assemblage entre caveau, hôtel, villas privées et country club a rapidement attiré une clientèle fidèle, aussi bien française qu’étrangère.
En 2021, ce fut au tour du Château Capitoul (acquis par Bonfils en 2011) d’ouvrir ses portes, portant ainsi à trois le nombre de nos domaines.
L'histoire du domaine
Introduite par les Grecs au Vème siècle avant JC, la vinification dans le Languedoc fut développée par les Romains qui établirent Narbonne en 118 avant JC. Située à un carrefour stratégique entre la Via Acquitania (vers l'Atlantique) et de la Via Domitia (reliant l'Italie à l'Espagne), Colonia Narbo Martius (Narbonne) devint rapidement la capitale prospère de la Gaule romaine dont le vin, le miel et de nombreux autres produits étaient expédiés à travers l’Empire.
A cette époque, La Clape était une presqu’île méditerranéenne parsemée de petits lacs, ce qui lui valut son nom antique : Insula Lacquis - la péninsule des lacs. Autour de ces lacs, se trouvaient des vignobles, dont beaucoup appartenaient à des légionnaires victorieux à qui César avait accordé des terres propices à la culture de la vigne. Capitoul fut sans doute l'un de ces premiers legs, bien que la première citation du domaine en tant que producteur de vin provienne d'un parchemin latin daté du 26 mai 1324.
Tout au long du premier millénaire, Narbonne demeura une ville importante, une référence pour l'agriculture et l'apprentissage, au confluent de diverses cultures, certaines provenant de bien au-delà de la Méditerranée. La ville et ses environs connurent un déclin au XIVème siècle, notamment à cause de l'ensablement des Graus (Criques) reliant la mer à la ville.
A cette époque, ce sont les monastères et autres ordres religieux qui perpétuèrent la tradition viticole, à la fois facteur de puissance économique et nécessité eucharistique. C'est dans un monastère dominicain de Limoux, vers 1530, que fut inventé le vin mousseux, technique transplantée en Champagne un siècle plus tard par un moine nommé Dom Pérignon.
Au XVème siècle, Capitoul appartenait également à des religieux - les chanoines de la cathédrale de St-Just (visible depuis les fenêtres du château). C'est probablement à cette époque que le domaine fut baptisé d'un dérivé de son nom actuel, dérivé du latin Chapitre, Capitulaire, Capitulum.
Progressivement, la production de vin dans la région diminua considérablement, devenant une activité quasi-moribonde et principalement locale, avec peu d'exportation. On sait peu de choses sur Capitoul durant cette période, bien que le domaine continue d'apparaître sur les cartes tout au long du Moyen Âge ainsi qu’aux XVIIème et XVIIIème siècles.
Le vent tourna dans la seconde moitié du XIXe siècle, avec le début de la période dite de l'Eldorado du Vin, caractérisée par une énorme augmentation de la demande due à l'industrialisation et la nécessité de fournir aux ouvriers une ration quotidienne de vin à faible teneur en alcool.
En 1867, les vignes européennes furent victimes du phylloxéra, un puceron qui décima les racines de la vigne, provoquant un effondrement de la production dans toute l'Europe. Alors que le Languedoc était durement touché, l'infestation provoqua curieusement une accélération du marché. Grâce aux sols sablonneux (capables de repousser les acariens) combinés à l’installation de porte-greffes américains sur les vignes, la production reprit vivement et le marché se mit à sourire au Languedoc : la demande culmina tandis qu’il y avait pénurie. L'ouverture de la ligne de chemin de fer Béziers-Paris ayant considérablement réduit le temps de transport (de quatre jours à un), la région connut un véritable essor tandis que de vastes fortunes viticoles se constituèrent autour de Béziers – la plus riche ville de France au tournant du siècle.
En 1898, la famille Rivière, propriétaire de Capitoul et détentrice d’une importante fortune viticole amassée pendant la période faste, entreprit de restaurer et transformer le domaine (jusqu’en 1990), créant au passage les bâtiments qui existent aujourd'hui. Capitoul retrouva rapidement son rang parmi les domaines les plus importants de la région.
Cependant, le tournant du siècle s'avéra le point culminant. La surproduction et les importations bon marché de vin algérien provoquèrent l’effondrement des prix. Approvisionnement en eau potable, guerres mondiales, évolution des goûts et émergence des vins du Nouveau Monde… Autant de raisons qui exercèrent une forte pression concurrentielle sur l'industrie. Capitoul, comme beaucoup d'autres, plongea progressivement dans une majestueuse léthargie, continuant à produire comme il l'avait toujours fait, mais vendant sur un marché indifférent qui a entraîna son déclin progressif.
En 1962, le domaine fut racheté par Fernand Aupecle pour compléter un portefeuille de domaines du Sud constitué à son retour d'Algérie. Le domaine resta dans sa famille jusqu'à ce qu’en 2011, son potentiel viticole et oenotouristique persuade la famille Bonfils d’en faire l’acquisition. La première phase de restauration concerna principalement le vignoble et le chai - replantation des vignes, agrandissement du domaine et refonte de la gamme. Parallèlement, eut lieu un long processus d'obtention des autorisations de création d'une destination oenotouristique premium, tandis que les Bonfils prenaient une participation dans Domaine & Demeure, spécialiste de la restauration et de l'exploitation de domaines viticoles en tant que destinations touristiques d'exception.
Le partenariat mis en place et les permis obtenus, les travaux commencèrent en 2018, annonciateurs de la renaissance de ce vénérable domaine situé dans l'Aude et assurant sa pérennité pour les générations à venir.
Introduite par les Grecs au Vème siècle avant JC, la vinification dans le Languedoc fut développée par les Romains qui établirent Narbonne en 118 avant JC. Située à un carrefour stratégique entre la Via Acquitania (vers l'Atlantique) et de la Via Domitia (reliant l'Italie à l'Espagne), Colonia Narbo Martius (Narbonne) devint rapidement la capitale prospère de la Gaule romaine dont le vin, le miel et de nombreux autres produits étaient expédiés à travers l’Empire.
A cette époque, La Clape était une presqu’île méditerranéenne parsemée de petits lacs, ce qui lui valut son nom antique : Insula Lacquis - la péninsule des lacs. Autour de ces lacs, se trouvaient des vignobles, dont beaucoup appartenaient à des légionnaires victorieux à qui César avait accordé des terres propices à la culture de la vigne. Capitoul fut sans doute l'un de ces premiers legs, bien que la première citation du domaine en tant que producteur de vin provienne d'un parchemin latin daté du 26 mai 1324.
Tout au long du premier millénaire, Narbonne demeura une ville importante, une référence pour l'agriculture et l'apprentissage, au confluent de diverses cultures, certaines provenant de bien au-delà de la Méditerranée. La ville et ses environs connurent un déclin au XIVème siècle, notamment à cause de l'ensablement des Graus (Criques) reliant la mer à la ville.
A cette époque, ce sont les monastères et autres ordres religieux qui perpétuèrent la tradition viticole, à la fois facteur de puissance économique et nécessité eucharistique. C'est dans un monastère dominicain de Limoux, vers 1530, que fut inventé le vin mousseux, technique transplantée en Champagne un siècle plus tard par un moine nommé Dom Pérignon.
Au XVème siècle, Capitoul appartenait également à des religieux - les chanoines de la cathédrale de St-Just (visible depuis les fenêtres du château). C'est probablement à cette époque que le domaine fut baptisé d'un dérivé de son nom actuel, dérivé du latin Chapitre, Capitulaire, Capitulum.
Progressivement, la production de vin dans la région diminua considérablement, devenant une activité quasi-moribonde et principalement locale, avec peu d'exportation. On sait peu de choses sur Capitoul durant cette période, bien que le domaine continue d'apparaître sur les cartes tout au long du Moyen Âge ainsi qu’aux XVIIème et XVIIIème siècles.
Le vent tourna dans la seconde moitié du XIXe siècle, avec le début de la période dite de l'Eldorado du Vin, caractérisée par une énorme augmentation de la demande due à l'industrialisation et la nécessité de fournir aux ouvriers une ration quotidienne de vin à faible teneur en alcool.
En 1867, les vignes européennes furent victimes du phylloxéra, un puceron qui décima les racines de la vigne, provoquant un effondrement de la production dans toute l'Europe. Alors que le Languedoc était durement touché, l'infestation provoqua curieusement une accélération du marché. Grâce aux sols sablonneux (capables de repousser les acariens) combinés à l’installation de porte-greffes américains sur les vignes, la production reprit vivement et le marché se mit à sourire au Languedoc : la demande culmina tandis qu’il y avait pénurie. L'ouverture de la ligne de chemin de fer Béziers-Paris ayant considérablement réduit le temps de transport (de quatre jours à un), la région connut un véritable essor tandis que de vastes fortunes viticoles se constituèrent autour de Béziers – la plus riche ville de France au tournant du siècle.
En 1898, la famille Rivière, propriétaire de Capitoul et détentrice d’une importante fortune viticole amassée pendant la période faste, entreprit de restaurer et transformer le domaine (jusqu’en 1990), créant au passage les bâtiments qui existent aujourd'hui. Capitoul retrouva rapidement son rang parmi les domaines les plus importants de la région.
Cependant, le tournant du siècle s'avéra le point culminant. La surproduction et les importations bon marché de vin algérien provoquèrent l’effondrement des prix. Approvisionnement en eau potable, guerres mondiales, évolution des goûts et émergence des vins du Nouveau Monde… Autant de raisons qui exercèrent une forte pression concurrentielle sur l'industrie. Capitoul, comme beaucoup d'autres, plongea progressivement dans une majestueuse léthargie, continuant à produire comme il l'avait toujours fait, mais vendant sur un marché indifférent qui a entraîna son déclin progressif.
En 1962, le domaine fut racheté par Fernand Aupecle pour compléter un portefeuille de domaines du Sud constitué à son retour d'Algérie. Le domaine resta dans sa famille jusqu'à ce qu’en 2011, son potentiel viticole et oenotouristique persuade la famille Bonfils d’en faire l’acquisition. La première phase de restauration concerna principalement le vignoble et le chai - replantation des vignes, agrandissement du domaine et refonte de la gamme. Parallèlement, eut lieu un long processus d'obtention des autorisations de création d'une destination oenotouristique premium, tandis que les Bonfils prenaient une participation dans Domaine & Demeure, spécialiste de la restauration et de l'exploitation de domaines viticoles en tant que destinations touristiques d'exception.
Le partenariat mis en place et les permis obtenus, les travaux commencèrent en 2018, annonciateurs de la renaissance de ce vénérable domaine situé dans l'Aude et assurant sa pérennité pour les générations à venir.
Notre concept
Lorsque nous avons acheté le Château Les Carrasses en 2008, le domaine était à l'abandon depuis près de 20 ans. Notre idée était d'en faire une destination de séjours à la carte : un lieu qui n'exige pas de compromis de la part des clients, afin qu’ils puissent vivre l’expérience qu’ils désirent plutôt que de se voir imposer une formule.
Ainsi, à l’image des meilleurs vins français, nous avons créé un assemblage des meilleurs éléments d’offres de vacances : les installations et le style d'un hôtel de qualité, l'intimité et le côté pratique d'une villa privée, le charme et l'authenticité d'un domaine viticole en activité ainsi que l’ambiance et le service décontractés d'un country club.
L'idée n'était pas nécessairement de décliner chaque élément sous tous ses aspects, mais plutôt de ne proposer que les meilleurs éléments, tout en veillant à conserver une certaine cohérence sur le domaine.
Trois domaines plus tard, cet engagement en faveur d’une expérience « sans compromis » est inscrit dans notre ADN. Ainsi, bien que chacun de nos domaines ait son allure, son atmosphère et sa personnalité propres, tous placent nos clients - plutôt que notre modèle commercial - au cœur de notre offre.
Lorsque nous avons acheté le Château Les Carrasses en 2008, le domaine était à l'abandon depuis près de 20 ans. Notre idée était d'en faire une destination de séjours à la carte : un lieu qui n'exige pas de compromis de la part des clients, afin qu’ils puissent vivre l’expérience qu’ils désirent plutôt que de se voir imposer une formule.
Ainsi, à l’image des meilleurs vins français, nous avons créé un assemblage des meilleurs éléments d’offres de vacances : les installations et le style d'un hôtel de qualité, l'intimité et le côté pratique d'une villa privée, le charme et l'authenticité d'un domaine viticole en activité ainsi que l’ambiance et le service décontractés d'un country club.
L'idée n'était pas nécessairement de décliner chaque élément sous tous ses aspects, mais plutôt de ne proposer que les meilleurs éléments, tout en veillant à conserver une certaine cohérence sur le domaine.
Trois domaines plus tard, cet engagement en faveur d’une expérience « sans compromis » est inscrit dans notre ADN. Ainsi, bien que chacun de nos domaines ait son allure, son atmosphère et sa personnalité propres, tous placent nos clients - plutôt que notre modèle commercial - au cœur de notre offre.
Responsabilité Sociale
Il a toujours été très important pour nous que nos domaines fassent partie intégrante de la communauté, apportant une forte contribution positive à la vie locale.
Plus important encore, nous restons ouverts toute l'année et privilégions l'emploi de la population locale. Cela est source de défis – notamment au niveau des compétences linguistiques - mais nous pensons que le jeu en vaut la chandelle. Non seulement nous puisons dans une mine de connaissances locales au sujet des domaines, de leur histoire et de leur environnement, mais de bons emplois à temps plein enrichissent l'économie locale, permettant aux jeunes des environs de vivre avec leur famille dans leur village d'origine.
Nous sommes également très attentifs à ce que les habitants, tout comme les résidents du Château, se sentent les bienvenus. Nous sommes convaincus que recevoir à Capitoul ce panache d’habitants des environs, d'invités français et internationaux constitue la clé du succès pour garantir à tous nos hôtes une expérience formidable.
Cette approche provoque de l’engouement sur le plan local et ancre nos domaines dans leur environnement proche – une impression partagée par nos clients, qui ressentent cette proximité lorsqu'ils interagissent avec la population locale pendant leur séjour, sur les domaines comme dans les environs.
Au cours des prochaines années, nous porterons une attention croissante à notre responsabilité sociale. Au-delà de l'emploi et du sponsoring, nous envisageons d’élargir notre démarche à un éventail d'initiatives beaucoup plus large, à la fois au sein des domaines et en dehors.
Il a toujours été très important pour nous que nos domaines fassent partie intégrante de la communauté, apportant une forte contribution positive à la vie locale.
Plus important encore, nous restons ouverts toute l'année et privilégions l'emploi de la population locale. Cela est source de défis – notamment au niveau des compétences linguistiques - mais nous pensons que le jeu en vaut la chandelle. Non seulement nous puisons dans une mine de connaissances locales au sujet des domaines, de leur histoire et de leur environnement, mais de bons emplois à temps plein enrichissent l'économie locale, permettant aux jeunes des environs de vivre avec leur famille dans leur village d'origine.
Nous sommes également très attentifs à ce que les habitants, tout comme les résidents du Château, se sentent les bienvenus. Nous sommes convaincus que recevoir à Capitoul ce panache d’habitants des environs, d'invités français et internationaux constitue la clé du succès pour garantir à tous nos hôtes une expérience formidable.
Cette approche provoque de l’engouement sur le plan local et ancre nos domaines dans leur environnement proche – une impression partagée par nos clients, qui ressentent cette proximité lorsqu'ils interagissent avec la population locale pendant leur séjour, sur les domaines comme dans les environs.
Au cours des prochaines années, nous porterons une attention croissante à notre responsabilité sociale. Au-delà de l'emploi et du sponsoring, nous envisageons d’élargir notre démarche à un éventail d'initiatives beaucoup plus large, à la fois au sein des domaines et en dehors.